Auriez-vous de belles histoires d'animaux ?

Bonjour,

Voilà, nous recherchons de belles histoires mettant en avant les animaux.
Cela fait plusieurs jours que je cherche et :triste6: je ne trouve pas. Pourquoi cette envie ? Tout simplement, parce qu'il existe trop d'histoires tristes et que j'aimerai que l'on puisse lire ici, de belles histoires !
Ces histoires peuvent n'être qu'avec des animaux mais aussi animaux/humains.

Alors à vos recherches et à vos claviers

je n'avais pas vu le topic boo

bonne idée,boo,je vais chercher

je vais également chercher ...

:bravo1: :bravo1: je pense que ça risque d'être sympa

c'est une très bonne idée .

Ce n'est pas vraiment une histoires que d'animaux,puisqu'elle met en scène une femme très courageuse. Je cite:

Citation :

Pour sauver son tendre chaton, une australienne a affronté un python à mains nues!

Ruth Butterwurth, 58 ans, originaire de Brsibane en Australie, est l'héroine du jour. Cette courageuse femme a en effet sauvé son chaton nommé Tuffy des crocs...d'un python!

N'écoutant que son courage et son amour pour son chat, Ruth a tout simplement asséné de violents coups de poings au reptile, récoltant au passage deux morsures.

"J'ai juste frappé la partie la plus épaisse du serpent, jusqu'à ce que la bête lâche mon chat".

Ruth devrait d'ores et déjà penser à une reconversion comme charmeuse de serpents, même si sa méthode n'a rien de délicate!

Voici le lien de l'article en Anglais:http://flickr.com/photos/guenterleitenbauer/729327736/

Ainsi commence l'histoire :

Luchon. Des chasseurs sauvent un gypaète barbu !


«Il était là, blotti. Il ne bougeait pas. Je me suis approché, je l'ai attrapé, il n'a même pas cherché à s'enfuir », raconte Jean-Paul Cau, encore tout émerveillé par cette étrange rencontre.

Il est 16 heures, sur la route forestière de Ravi. L'équipe de chasse du domanial de Superbagnères rentre d'une battue aux cervidés lorsque près d'un talus, l'un d'eux aperçoit le gypaète barbu. « Il était bien camouflé, on a dû passer devant plusieurs fois sans même y faire attention », raconte l'un des chasseurs. Le grand rapace est au sol, vulnérable, affaibli. « C'est extraordinaire, s'exclame un de ses amis, cet oiseau est emblématique dans notre massif, c'est un moment que je n'oublierai jamais ».

Conduit chez un vétérinaire à Toulouse
Après avoir couvert sa tête afin de ne pas le stresser, les chasseurs se rendent à la gendarmerie déclarer leur découverte et contactent l'ONCFS, l'office nationale de la chasse et de la faune sauvage. « Nous avons amené le rapace à Toulouse, chez un vétérinaire spécialisé. Il va subir des examens afin de savoir ce qui lui est arrivé. Il a été trouvé à terre, c'est extrêmement rare et signe qu'il ne va pas bien », explique Michel Jarrige, chef du service départemental de l'ONCFS.

« Nous verrons ensuite si son état permet son transfert vers un centre spécialisé avec une grande volière, l'objectif étant de le laisser se rétablir puis de le relâcher dans le Luchonnais, là où il a été trouvé. Les couples de gypaètes sont pérennes, il est donc très important de le rendre à la montagne » précise Michel Jarrige.

Ce matin, le gypaète a été nourri. Il va bien et ne présente aucune blessure.

Le rapace devrait donc rapidement retrouver le chemin de la liberté, à la grande satisfaction des chasseurs luchonnais, heureux de lui avoir sauvé la vie.


Ceci est arrivé en Décembre 2007, Aujourd'hui voilà des nouvelles du Gypaète Barbu :

Luchon. Cap sur la liberté pour Noa, le gypaète.

«Quel stress, c'est vraiment énorme », souffle Laurence Goyénèche, la voix brisée par l'émotion. Soigneur capacitaire au centre de soins Hagalaldia, elle prend soin du gypaète barbu depuis trois mois. « C'est beaucoup de pression. Ce soir, ce sera peut-être une vraie nuit… »

Derrière elle, dans la camionnette, le gypaète barbu, attend patiemment. Un peu comme s'il avait compris, que dans quelques minutes, l'immensité du ciel s'offrirait à lui. Tôt ce matin, il a quitté sa volière et subit une dernière visite médicale. L'oiseau est en pleine forme et accuse sur la balance près de 8 kg. Il est enfermé dans un grand carton, direction Artigue, au-dessus de Luchon, à trois heures de route.

Lâché à 1 200 m d'altitude
Situé à près de 1 200 m d'altitude, le village surplombe la vallée. Le ciel est d'un bleu profond. Un beau jour pour retourner à la vie sauvage. Le carton est ouvert, on le bascule. Noa sort, sent l'herbe sous ses pattes et soudain c'est l'envol. L'appel aura été irrésistible. En quelques secondes à peine, c'est terminé. Le gypaète barbu, oiseau emblématique des Pyrénées, plane, majestueux.

Sur site, l'émotion est immense. « Allez, à toi de jouer maintenant », souffle Laurence. Lydia Vilagines, le vétérinaire qui l'a suivi dès le premier jour, est en larme. « Quand je l'ai vu, je me suis dit qu'il avait une aile cassée et que c'était fini pour lui. Je me trompais » lâche-t-elle. Il est libre, c'est une bête extraordinaire ! Il a eu une attelle, puis un traitement antibiotique lourd, ce n'était pas gagné. Mais aujourd'hui, qu'elle émotion ! »

Équipé d'un GPS
Avant de partir, Noa a été équipé d'un émetteur GPS. Très régulièrement, un suivi va être assuré, les premiers jours pour pouvoir intervenir et le récupérer en cas de problème, ensuite, pour réunir des informations sur cette espèce encore mal connue. « Nous sommes en contact avec un biologiste espagnol qui va étudier les déplacements du gypaète, ainsi, il va pouvoir étudier sa stratégie de prospection alimentaire en fonction des saisons, détecter s'il se met en couple, où il niche « explique Martine Razin de la Ligue de Protection des Oiseaux. L'épopée de Noa, le gypaète sauvé par des chasseurs luchonnais, ne fait que commencer.


Jean-Paul Cau : « un oiseau magnifique »
« Je suis ému, je suis très heureux d'être ici aujourd'hui et de participer à ce lâcher », s'exclame Jean-Paul Cau. Le 12 décembre dernier, c'est lui qui a remis le gypaète aux gardes de l'ONCF. « Je 'ai trouvé très beau, très gras, avec des couleurs magnifiques, la tête majestueuse, c'est une bête magnifique ». Les chasseurs du domanial de Luchon sont venus assister au lâcher. L'un d'entre eux a le cœur qui bat un peu plus peut-être. Pierre a trouvé le gypaète blotti près d'un talus, sous la piste forestière de Ravi. « Il était tout trempé, il ne bougeait pas, se souvient-il. C'est oiseau est un symbole, tout le monde a travaillé pour lui sauver la vie. Aujourd'hui, j'ai eu un choc en le voyant si beau, je garderai le souvenir de ce moment toute ma vie ! ».


Et voici Noa

Hogan et le faon

Cette belle histoire s’est déroulée en Afrique du Sud en 2004. Une biche s’est fait mortellement heurtée par une voiture. Elle était accompagnée de son faon qui, paniqué, s’est réfugié sous le porche d’une maison.
Le nouveau-né a ainsi failli mourir de faim après 3 jours sans soin.

C’est alors que Jennifer Aftanas, une habitante de la localité, a décidé de prendre en charge l’orphelin. Elle lui a préparé un biberon qu’il a goulûment avalé.
Rapidement, le faon a repris des forces. Baptisé Bella, la petite orpheline apprécie particulièrement le lait de chèvre.
Aucun asile pour animaux ne pouvant prendre en charge l’animal, Bella est restée dans son nouveau foyer.

C’est alors que Hogan, le gardien des lieux, a lui aussi décidé de jouer les nounous. Ce gros toutou, en principe dressé pour la chasse, est tombé amoureux de la petite Bella. Il a lui-même pris en charge le toilettage du faon et a accepté qu’elle partage son lit.
Bella a ainsi pu, avec l’amour des hommes et de Hogan, se rétablir.

Quelques mois après, Bella a été confiée à un centre médical pour animaux où elle est restée jusqu’à ce qu’elle soit capable de réintégrer son environnement naturel.

bon c'est plus une bonne nouvelle:


Exceptionnel: le 15/04/08 sont nés au zoo de Yalta au sud de l'Ukraine 3 bébés tigres de Sibérie. Cette naissance de triplé est d'autant plus exceptionnelle à cause de la rareté des spécimens de cette espèce. Le Tigre de Sibérie est inscrit sur la liste rouge de l'IUCN.

Ces bébés sont nés de la femelle Yana et du tigre Ular. Les bébés se portent bien et ont été laissés avec leur mère.

Pour l'instant aucun nom leur a été donné.

ils sont magnifiques

C'est super ces belles histoires et il y a encore des chasseurs avec un :coeur2: c'est fantastique

Brutus, le lion en cage a retrouvé la liberté

Brutus, le lion en cage a retrouvé la liberté. Après avoir été libéré de son dur métier d’animaux de cirque chez Vitalis le 12 décembre 2007 grâce à la lutte acharnée de One Voice, Brutus profite actuellement du goût de la vie sauvage de la savane africaine, dans la réserve de Shamwari en Afrique du Sud.

Le jeudi 24 avril, après quelques mois passés au refuge de l’Arche de Château-Gontier, Brutus le lion était fin prêt pour partir vers son nouvel habitat en Afrique du Sud. Ce transfert a eu lieu grâce à l’étroite collaboration de l’Arche de Château-Gontier et de l’association britannique Born Free.

Mais ce départ tant entendu s’est déroulé sous une mauvaise ambiance. Selon les explications données par Huchedé, fondateur de l’Arche de Château-Gontier, le transfert a pris deux mois de retard relatif à des problèmes administratifs au niveau des autorités britanniques. De plus, si l’animal devait au départ faire un vol direct Paris-Johannesburg, l’itinéraire a quelque peu changé. L’animal est passé par Londres avant de faire une escale au Kenya pour finalement atterrir à son pays d’accueil. Enfin, le déroulement de l’opération ressemble plutôt à une campagne de marketing qu’à la protection animale avec les parades pour la réalisation de séances photos inédites.

Finalement Brutus est parti. Mais le comportement des membres de l’association britannique laisse Huchedé sans voix. En effet, aucune information ne lui a été par la suite communiquée. Il a appris tout simplement sur la toile que le voyage du lion avait été quelque peu mouvementé. Arrivé à destination, Brutus s’est intègré parfaitement bien dans son nouvel environnement et ne se laisse plus approcher, de peur peut-être de se faire attraper et d’être mis en cage de nouveau.

Pour plus d’informations sur la nouvelle vie de Brutus, on devra attendre les récits de Caroline Lanty de la SPA, partie à sa rencontre.

Hybridation Homme - Singe impossible ?

Au cours de l’année 1939, en Chine, une jeune paysanne disparut pendant 27 jours. A son retour, elle raconta avoir été enlevée par plusieurs créatures simiesques, connues sous le nom d’hommes sauvages d’Hupp, qui la séquestrèrent dans la forêt.

Neuf mois plus tard, elle mit au monde un enfant d’apparence simiesque qui, parvenu à l’âge adulte, mourut en 1960.

En 1980, des scientifiques chinois exhumèrent son squelette, et après examen, conclurent qu’il tenait à la fois du singe et de l’être humain.

Une telle hybridation est généralement considérée comme impossible, à cause des différences génétiques.
En effet, l’être humain possède 46 chromosomes et le chimpanzé, 48.
De plus, la structure de ces chromosomes est beaucoup trop différente.

Mais les hommes sauvages d’Hupp sont-ils bien des singes ?

On sait que des expériences ont été tentées dans l’ex-URSS vers 1930, et plus récemment en Chine et aux USA. Des embryons ont été obtenus.

De nos jours, les scientifiques, déçus de ne pas avoir obtenu d’hommes-singes par voie directe ou par insémination artificielle, essayent d’en obtenir par fusion de cellules embryonnaires. C’est par cette méthode qu’a été créé le mouton-chèvre.

Quel intérêt ce type d’hybridation peut-elle avoir pour le bien être de l’humanité ? C’est apparemment la seule question que ces scientifiques ne se sont pas posés.

L’homme est un animal doué de parole. Bien que nous soyons capables de communiquer entre nous, nous sommes bien souvent incapables de comprendre certains comportements de nos propres congénères.
Très fier de son cerveau sophistiqué, l’homme a toujours eu la prétention de tout expliquer. Depuis des millénaires, nous nous penchons avec intérêt sur les autres animaux.
Plus notre technologie progresse et plus nous émettons des théories qui sont sensées décrypter la manière dont fonctionnent les sociétés animales ou la façon dont les animaux communiquent.
Si nos ancêtres se sont intéressés aux autres animaux, c’est avant tout avec l’intention de s’en nourrir.
Cependant, les peintures rupestres nous prouvent que leur intérêt dépassait déjà la simple nécessité de survivre.
Ainsi, il y a près de 15 000 ans, un artiste de l’Age de Pierre nous a légué une peinture qui montre un bison et un homme à tête d’oiseau.
Cette peinture de la Grotte de Lascaux est peut-être le premier témoignage connu d’une croyance en une parenté mystique entre l’homme et l’animal.

Aujourd’hui, à l’ère de l’exploration spatiale, nous en sommes toujours réduits à avouer notre ignorance et notre incompréhension devant certains comportements.
Les anecdotes qui suivent sont là pour prouver que nous sommes encore très loin d’avoir percé tous les mystères de notre environnement.



A plusieurs reprises en Chine, une chienne a fait office de maman à des petits tigres orphelins. Soit la tigresse refusait de s’occuper de ses petits, soit elle n’avait pas assez de lait pour les nourrir.

Ces cas insolites se sont tous produits dans des zoos. A chaque fois, les employés ont tenté, avec succès, de faire adopter les jeunes par une chienne qui venait d’avoir des chiots. Il semble donc que l’instinct maternel animal ne connaisse aucun préjugé.



En septembre 2005, aux Etats-Unis, un jeune garçon a trouvé un bébé écureuil Baptisé Chipper, le bébé a été aussitôt pris en charge par Pepper, le chien du jeune garçon.
Agée de 4 ans, cette maman n’avait jamais eu de petits et a donc reporté tout son amour maternel sur ce rejeton insolite.



Non, il ne s’agit pas d’une aventure du chat star du grand écran mais d’une histoire d’amour réelle entre une jument et un chat.
Cette rencontre insolite s’est produite en janvier 2006.

Le chaton perdu et complètement affolé s’est réfugié dans une écurie où se reposait paisiblement Gemma.
A-t-elle été émue par la fragilité de cette drôle de boule de poils ? Nous ne le saurons jamais.
Toujours est-il que Gemma a décidé de prendre sous sa protection le petit Garfield.
Cette amitié insolite entre deux animaux aussi différent semble basée sur la nécessité de se sentir sécurisé pour l’un et peut-être par la simple curiosité pour l’autre.
A vrai dire, on ne peut réellement expliquer pourquoi cette jument a entrepris de s’occuper d’un chaton aussi gaffeur.
En effet, ce dernier s’en est donné à cœur joie dans la ferme en semant la panique au sein des cochons et des volailles.
Devenu adulte, Garfield est resté fidèle à son amie malgré l’hostilité évidente des autres locataires de la ferme.



Un bébé hippopotame, rescapé du tsunami asiatique qui a touché les côtes du Kenya le 26 décembre, a été adopté par une tortue géante dans un parc animalier du port de Mombasa, sur l'Océan indien.

Le "petit" hippopotame de 300 kg, surnommé Owen par l'équipe du Lafarge Park, avait été emporté par la forte vague qui s'était engouffrée dans la rivière Sabaki, avant de refluer vers l'océan Indien. Il avait ensuite été sauvé par des gardes forestiers.

"C'est incroyable: le petit hippopotame, qui n'a pas un an, a été adopté par une tortue mâle, qui en a cent. Et la tortue semble très contente de jouer les mères, a raconté à l'AFP la responsable du parc, Paula Kahumbu.

"Après avoir perdu sa mère, l'hippopotame était traumatisé. Il a cherché une nouvelle mère. Heureusement, il a trouvé la tortue et a s'est lié d'une relation forte avec elle: ils nagent, mangent et dorment ensemble", a ajouté cette protectrice de l'environnement.

"L'hippopotame suit la tortue exactement comme il suivrait sa mère. Si quelqu'un approche la tortue, il devient agressif, comme s'il protégeait sa mère biologique", a-t-elle poursuivi.

"Par nature, les hippopotames sont des animaux sociables, ils aiment rester avec leurs mères pendant les quatre premières années de leur vie", a-t-elle expliqué.

En 2002, une lionne kényane avait adopté successivement plusieurs bébés antilopes. Une partie des bébés avaient été dévorés par d'autres prédateurs, et les autres avaient été mis à l'abri par les gardes forestiers.


Ce ne sont que quelques anecdotes parmis tant d'autres,mais quelle leçon de vie nous donnent ces animaux......

Un zoo de Californie, le California’s Lion Country Safary, décida de faire avoir des petits à la dizaine de lionnes qu’il détenait.
On sélectionna donc cinq jeunes mâles robustes et vigoureux.
Mais, ces dames les repoussèrent avec dédain. L’un d’entre eux qui tenta sa chance avec insistance fut même mordu cruellement.
On leur chercha donc des remplaçants. Faute de trouver des candidats valables, le zoo se rabattit sur un vieux lion tout pelé, acheté à un cirque mexicain, en faillite.
Le pauvre lion, après toutes ces années, passées en cage, faisait pitié.
Il était efflanqué, faute d’être nourri correctement et presque édenté. Il boitait et avait peur de tout. Inutile d’être très perspicace pour envisager l’hypothèse de mauvais traitements.

Avec une telle acquisition, les responsables s’attendaient au pire.

A la surprise générale, le vieux lion devint la coqueluche de ces dames. Ces dernières se battaient pour jouir de ses faveurs et faisaient assaut d’amabilité à son égard. Pour l’amadouer, elles allaient même jusqu’à lui mâcher sa viande, prenant en pitié sa dentition en mauvais état.

Avec une telle cour, le vieux mâle retrouva bien vite une seconde jeunesse. Il déploya toute son énergie à les satisfaire et devint infatigable.

Au total, il concevra 35 descendants en 16 mois avant de s’éteindre paisiblement.

euh, une question, pandi, pk avoir mis l'hybridation homme-singe dans "belles histoires" ??

l'hippotame et la tortue, owen et mzee ont une galerie de photos dans "animaux célèbres", ils sont trop

Un cacatoès couve des œufs en chocolat

Une femelle cacatoès baptisée Pippa, qui vit dans un refuge animalier de Grande-Bretagne, a couvé pendant deux semaines un bol rempli d’œufs en chocolat
Le bol rempli de petits œufs avait été placé sur un comptoir à l’intention des visiteurs pour Pâques.
Selon Monsieur Grewcock, son propriétaire, Pippa s’est montrée très protectrice envers le bol. Son instinct maternel l’a poussé à couver les œufs.
Apparemment, elle n’a pas fait de différence, persuadée d’être la mère de la future progéniture.
L’incubation dans l’environnement naturel dure 30 jours. D’ici deux semaines, Pippa risque d’être bien désappointée en ne voyant apparaître aucun oisillon.


Pippa est un cacatoès blanc (Cacatua alba) de 17 ans qui est pensionnaire du refuge depuis 4 ans.
Son espérance de vie est de 70 ans. C’est l’un des 300 oiseaux recueillis dans ce sanctuaire.

Elle semble avoir un caractère bien trempé et ne pas apprécier la compagnie humaine. Un photographe qui s’était approché d’un peu trop près a été bombardé avec un œuf en chocolat, lui signifiant que c’est le seul qu’il aurait.

Pandora a écrit:

Un zoo de Californie, le California’s Lion Country Safary, décida de faire avoir des petits à la dizaine de lionnes qu’il détenait.
On sélectionna donc cinq jeunes mâles robustes et vigoureux.
Mais, ces dames les repoussèrent avec dédain. L’un d’entre eux qui tenta sa chance avec insistance fut même mordu cruellement.
On leur chercha donc des remplaçants. Faute de trouver des candidats valables, le zoo se rabattit sur un vieux lion tout pelé, acheté à un cirque mexicain, en faillite.
Le pauvre lion, après toutes ces années, passées en cage, faisait pitié.
Il était efflanqué, faute d’être nourri correctement et presque édenté. Il boitait et avait peur de tout. Inutile d’être très perspicace pour envisager l’hypothèse de mauvais traitements.

Avec une telle acquisition, les responsables s’attendaient au pire.

A la surprise générale, le vieux lion devint la coqueluche de ces dames. Ces dernières se battaient pour jouir de ses faveurs et faisaient assaut d’amabilité à son égard. Pour l’amadouer, elles allaient même jusqu’à lui mâcher sa viande, prenant en pitié sa dentition en mauvais état.

Avec une telle cour, le vieux mâle retrouva bien vite une seconde jeunesse. Il déploya toute son énergie à les satisfaire et devint infatigable.

Au total, il concevra 35 descendants en 16 mois avant de s’éteindre paisiblement.

Comme quoi,les animaux et les humains n'ont pas les mêmes critères de sélection,à mois que l'article ne dévoile pas toute l'histoire ......

:pouce:

Canada : Un chien échappe à l’euthanasie grâce à des roulettes !

Une histoire émouvante s’est déroulée au Canada : un chien a échappé à l’euthanasie grâce à des roulettes. Ce berger allemand est atteint d’une maladie l’ayant conduit à perdre totalement le contrôle de ses membres postérieurs. Son propriétaire ne voulant surtout pas entendre parler d’euthanasie, a décidé de chercher une solution moins radicale et on peut dire qu’il l’a trouvée.

Gary Mikus n’a vraiment pas pu se résoudre à perdre son chien à cause de la maladie dont il souffre. Bear, son berger allemand, semblait être perdu d’avance mais Gary Mikus n’a jamais perdu espoir. Lorsque son chien a commencé à avoir toute la partie postérieure de son corps paralysé, Gary Mikus ne savait plus à quel saint se vouer. C’est à ce moment qu’il a pris connaissance de l’existence du chariot pour chien en difficulté.

Pratiquement, Bear a été équipé d’un chariot à deux roulettes construit sur mesure et qui lui permet de préserver une indépendance totale ainsi qu’une mobilité parfaite. La partie centrale du corps du chien est soutenue par un dispositif matelassé fixé à l’aide de sangles directement rattachées aux épaules ainsi qu’au torse de l’animal.

Gary Mikus a affirmé que son chien était aussi heureux qu’à l’époque où il pouvait encore compter sur ses quatre pattes. Il a également précisé que si Bear montrait des signes de souffrance ou de contrariété et que son chariot ne pouvait plus contribuer à son bonheur, il prendra les mesures qui s’imposent.





Source : Waliboo

Colorado : Un chaton coincé dans les égouts a été sauvé par les pompiers

Une histoire émouvante s’est déroulée dans l’état du Colorado : un chaton coincé dans les égouts a été sauvé par les pompiers. Ce petit chat dont la vie ne tenait plus qu’à un fil était tout juste âgé de quelques semaines au moment des faits. Si un animal avait un sentiment de reconnaissance, celui-ci le serait éternellement envers ses sauveteurs.

Contrairement aux idées reçues, les pompiers répondent très rarement à un appel concernant un chat en détresse. Cette fois-ci, cela a cependant été le cas. Une dame a appelé au secours en précisant que son chaton de quelques semaines seulement était prisonnier des égouts et son jeune âge ne lui permettait pas de sortir tout seul de la situation dans laquelle il se trouvait. Probablement touchés par la détresse de la maîtresse du chaton, les pompiers du Colorado ont répondu à l’appel.

Quatre pompiers sont ainsi venus à la rescousse du chaton (on ne sait pas s’il s’agissait d’un bébé persan, siamois, manx ou encore bombay…). Ils sont tous descendus dans le trou dans lequel le chaton se trouvait. Après quelques appels et des manœuvres bien calculées, l’animal a finalement été sorti du trou. On peut dire que tout est bien qui finit bien et la propriétaire du chaton a subitement retrouvé son sourire.

Les chats sont des animaux curieux par nature. C’est certainement ce qui les pousse à réaliser certaines “prouesses” qui les mettent parfois dans des situations impossibles. Le petit chaton des égouts a eu beaucoup de chance de s’en être sorti sans aucun bobo ou presque.



Source : Waliboo