Je ne savais pas et maintenant
je sais !!! C'est en me baladant sur le net, comme tous les jours, que j'ai trouvé le message d'une personne qui dénonce
sa ville ( en France ? Suisse ? Belgique ? en tout cas un pays Européen ). En effet il dit que les chiens, les chats
sont tués comme aux Etats-Unis : au monoxyde de carbone (gaz).
Si vous ne connaissez pas cette méthode ( comme je ne la connaissais pas :triste6: ) prenez votre courage à deux mains et regardez cette vidéo :
https://www.dailymotion.com/video/x38vqi_fourrieres-euthanasie-de-groupeJe suis peut-être et même surement naive, mais je vous jure je ne savais pas..........
J'ai aussi trouvé le récit de celle qui tue ! que je vous livre ici :
Ceci est le récit d’une femme dont le métier est l’euthanasie massive de chiens et de chats. Cette femme travaille aux USA mais l’euthanasie massive existe malheureusement dans de très nombreux pays dont la France et l’Espagne…
Oui, je sacrifie des chiens et des chats pour gagner ma vie.
Je suis employée du Contrôle Animal dans une petite ville de la Caroline du Nord aux Etats Unis.
J’ai 35ans et j’ai travaillé pour la commune à différents postes avant d’occuper celui-là.
Il n’y a pas beaucoup de travail ici et travailler pour le comté, signifie de bonnes garanties et un bon salaire pour une personne comme moi qui n’ai pas fait d’études supérieures et qui ne suit pas à mon compte.
Je suis cette personne sur qui vous écrivez tous des choses horribles. Je suis celui qui tue les chiens et les chats et qui les fait souffrir. Je suis celle qui extrait la vie de leur corps en leur faisant respirer du monoxyde de carbone et les enferme dans les sacs en plastique noirs.
Mais je suis aussi celle qui hait son travail et hait ce qu’elle doit faire.
Tous, vous qui me jugez, ne le faites pas. Dieu me juge et je sais que j’irai en enfer. Je ne vais pas mentir, c’est infâme, cruel et je m'assieds comme un assassin en série.
Mais je ne suis pas coupable de tout. Si la loi obligeait la stérilisation des animaux, beaucoup de ces chiens et de ces chats ne seraient pas ici pour que je les sacrifie.
Je suis le démon, mais je veux que tous vous voyez l'autre face de l'homme de la chambre à gaz.
Généralement, le centre antirabique effectue les sacrifices dans la chambre à gaz le vendredi matin.
Vendredi est le jour que la majorité attend avec impatience, mais pour moi, ce c'est le jour que je hait au plus haut point et je voudrais toujours que le temps s'arrête la nuit du jeudi.
Jeudi, très tard la soirée, quand il n'y aura plus personne, mon ami et moi allons dans un fast-food et nous dépensons 50 dollars dans des hamburgers, frites et poulet.
J'ai l’interdiction de nourrir les animaux le jeudi parce qu'ils me disent que ca devient une porcherie dans la chambre à gaz, et que ce serait un gachit de nourriture.
Donc, le jeudi soir, avec les lumières encore éteintes, je monte au quatrième étage, plus triste que jamais personne ne pourrait l’imaginer, et je laisse tous les chiens et chats condamnés à mourir sortir de leurs cages.
Mon ami et moi ouvrons l'emballage de chaque hamburger et sandwich de poulet et nourrissons tous ces chiens affamés et maigres.
Ils avalent le repas tellement rapidement, que je ne crois pas qu'ils se rendent compte de ce qui va se passer.
Ils remuent la queue et mangent, certains se couchent sur le dos pour qu’on leur caresse le ventre. Ils commencent à courir, sauter et ils nous embrassent moi et mon ami.
Ils vont manger un peu plus et reviennent là où nous sommes.
Tous nous surveillent avec tant de confiance et d’espoir, et leurs queues remuent tellement rapidement, que je finis souvent avec des bleus entre les jambes.
Après avoir dévoré leur repas, il est temps de profiter d’un peu de paix et d’amour.
Mon ami et moi nous asseyons dans la salle, pleine de saletés et souillée par la rouille.
Nous les laissons nous sauter dessus, ils jouent avec nous et entre eux aussi.
Certains se collent les uns aux autres, mais la majorité reste collée à moi et à mon ami.
Je regarde chaque chien dans les yeux. Et je donne un nom à chacun.
Ils ne mourront pas sans avoir un nom.
Je donne à chaque chien 5 minutes d’amour et d’affection inconditionnelle.
Je leur parle et je leur dis que je regrette beaucoup qu’il mourront demain après une longue agonie et d’une manière terrible. De mes propres mains dans la chambre à gaz.
Certains inclinent leur tête comme si ils essayaient de me comprendre.
Je leur dis qu'ils iront dans un monde meilleur, et je leur demande de ne pas me haïr.
Je leur dis que je sais que j'irai en enfer, mais que eux iront jouer avec tous les chiens et chats dans le ciel.
Après environ 30 minutes, je prends chaque chien et je le remet dans sa cage. Remplie de souillures. Je les caresse et eux me lèchent le menton. Certains me donnent même la patte et je veux seulement mourir.
Je referme la cage et je leur demande encore une fois de me pardonner.
Ils dormiront le ventre plein et avec une fausse sensation de sécurité.
Il est près de 5 heures du matin maintenant. Plus que deux heures avant de devoir asphyxier mes amis dans la chambre à gaz.
Je vais à la maison, je me lave, je prends mes 4 pilules contre l'anxiété et retourne au travail. Sans avoir pu avaler quoique ce soit.
Est arrivé le moment de mettre ces animaux dans la chambre à gaz.
Je me mets mes bouchons dans les oreilles, et je vais retrouver les chiens et les chats.
Ils sont tellement heureux de me voir, qu'ils sautent sur moi pour m'embrasser en pensant qu'ils joueront avec moi.
Je les mets dans la cage mobile et je les porte à la chambre à gaz.
Ils le savent.
Peuvent sentir la mort, la peur.
Ils commencent à gémir dès que je les mets dans la chambre à gaz.
Le chef me demande d’en faire rentrer un maximum en même temps pour économiser le gaz. Il m'observe.
Il sait que je le hais, il sait que je hais mon travail.
Je fais ce qu’il me demande.
Il vérifie que tous les chiens et les chats soient accumulés dans la salle.
Ils se débattent et crient. Le son est amoindri parce que j'ai des bouchons dans les oreilles.
Il s’en va, je mets le gaz et sors le plus rapidement possible.
Je marche vers le bain, prends une épingle et me pique jusqu'à saigner.
Pourquoi ?
Parce que la douleur et le sang dégagent mon esprit de ce que je viens de faire.
Dans 40 minutes je dois y retourner et retirer les animaux morts.
Je prie pour qu'aucun n’ait survécu, ce qui arrive quand je mets trop animaux dans la chambre à gaz.
Je les lève avec mes gants et le parfum du monoxyde de carbone me rend malade tout comme les vomissements, le sang et les mouvements involontaires des corps.
Je les couche et les mets dans les sacs en plastique.
Je me dis à moi même : "Ils sont au paradis maintenant".
Je nettoie ensuite toute la saleté, que VOUS HUMAINS, avez amené ici en ne stérilisant pas ces animaux.
La saleté, que VOUS HUMAINS, avez amené ici en n'exigeant pas qu'un vétérinaire vienne et fasse ceci d'une manière humanitaire.
VOUS, LES CONTRIBUABLES, QUI EXIGENT QUE CETTE PRATIQUE CESSE !
Donc ne m'appelez pas "le monstre", "le démon" ; ou "l’ordure", et appelez démon le GOUVERNEMENT, les personnes responsables de ce dernier, les responsables qui font que ceci arrive.
Appelez le gouverneur et EXIGEZ QU’IL METTE UN TERME A CECI !
Comme tous les soirs, je prendrai mes pilules pour dormir, pour pouvoir noyer les cris que j’ai écouté dans le passé avant de découvrir les bouchons pour les oreilles.
Je tournerai et virerai dans mes cauchemars en croyant que j'hallucine.
Ceci est ma vie, ne me jugez pas, croyez moi, je me juge déjà suffisamment !
Voilà je vous livre ce que j'ai découvert ce matin ........et je crois sincèrement que ça ne va pas me quitter d'ici tôt.