Auriez-vous de belles histoires d'animaux ?

Un homme recueille un héron et lui apprend à voler.

En Grande-Bretagne, un homme a recueilli un héron et lui a appris à voler.

Grande Bretagne, Cornwall - M. Zammit, 42 ans, a recueilli un bébé héron sur le point de mourir après une tempête qui a coûté la vie à sa mère. Le jeune oiseau, baptisé Dude, tenait alors dans une main et son état nécessitait une surveillance 24h/24 de la part de M. Zammit qui a dû le garder au chaud et le nourrir de petits poissons.

Quand l'oiseau fut tiré d'affaire, M. Zammit entreprit de lui apprendre à voler, comme l'aurait fait une mère héron avec son petit. Il eut l'idée de courir avec de la nourriture dans les poches, ce qui incita Dude à le suivre, tout en contribuant à développer sa carrure. M. Zammit continua les jours suivants en agitant les bras et en poussant des cris rauques, jusqu'à ce que l'oiseau l'imite et prenne son envol.

Dude a maintenant atteint sa taille adulte, il mesure 90 cm et a une envergure de 1,20m. Il ne pourra jamais être relâché dans la nature mais il semble se plaire dans un parc naturel. Il monte aujourd'hui à 21 mètres de haut et redescend quand on l'appelle.

C'est vraiment super ! Il y a encore de belles histoires dans ce monde souvent pourri

Oui, fort heureusement

Caroline du Nord
Une mère et deux enfants doivent la vie à leur chien !

Un chien aurait sauvé une famille de la Caroline du Nord d’un incendie.

Kathryn Ramirez et ses deux enfants dormaient dans la maison quand l'incendie a éclaté.

Mme Ramirez n’a toutefois pas senti la fumée ni la chaleur. Elle ne se serait jamais réveillée si son chien, Daisy, n’était pas venu la mordiller.

La mère de famille a ainsi pu sauver ses deux garçons des flammes.

Les flammes ont complètement ravagé la maison. Les Ramirez reçoivent l’aide de la Croix rouge et d’amis de la famille.

La vidéo !


Source : canoe.ca

Le baiser du Doberman !

Il venait juste de la sauver de sa maison en feu,
il l'installa sur le gazon avant tout,
pour ensuite retourner combattre l'incendie.

Elle attendait des bébés

Le pompier eut peur d'elle en la sortant parce
qu'il n'avait jamais côtoyé de Doberman auparavant.
Quand finalement l'incendie fut contrôlé, il s'est assis sur
le gazon pour reprendre son souffle et prendre un peu de repos.

C'est à ce moment qu'un photographe du journal "The Observer"
de la ville de Charlotte, Caroline du Nord a remarqué que la femelle
Doberman fixait le pompier.

Il l'a vu s'approcher du pompier et se demandait
ce qu'elle avait l'intention de faire.
C'est alors qu'il la vit donner un baiser
à l'homme qui l'avait sauvé du brasier.

rhoooo, c'est trop chouuuu !!!

Incroyable : elle vit avec des loups depuis 3 ans !! :coeur2: :coeur2:


Pour voir la vidéo c'est ici !

Depuis trois ans, une jeune chercheuse strasbourgeoise vit seule avec des loups dans la taïga russe, à 500 kilomètres de Moscou. Une expérience hors du commun, loin de la civilisation, pour cette femme passionnée par l'étude des carnassiers.
Garée le long de l'isba, en pleine taïga russe, la vieille Golf couverte de poussière intrigue, avec son immatriculation «67», du Bas-Rhin. La voiture, venue d'Alsace, ne bougera plus. Sa jeune conductrice, Laetitia Becker, a trouvé son bonheur dans la forêt boréale, à 500 km à l'ouest de Moscou. Seule, ou presque, parmi les loups. Cela fait trois ans que Laetitia la Strasbourgeoise, 25 ans, partage sa vie avec les fascinants carnassiers. Chaque matin, elle retrouve sa meute dans l'enclos, dissimulé au cœur de la forêt. Depuis dix mois, elle suit une portée de sept louveteaux confiés par un chasseur à la station biologique locale dirigée par Vladimir Bologov. Sept petites boules de poil brun, nourries par Laetitia et Vladimir. Pour les préparer à leur entrée dans la vie sauvage, l'étudiante française leur fait faire de longues promenades. La jeune fille, vareuse kaki et pantalon de treillis, a le pas leste d'un coureur des bois. La démarche est masculine. Ses mains sont celles d'un travailleur, façonnées par le grand air. Un contraste avec son beau visage orné de taches de rousseur et illuminé par des yeux bleus, clairs comme ceux d'un husky. «Je suis tombée amoureuse de la forêt. Quand on est dedans, c'est dense, c'est grand, profond.» Le coup de foudre l'a frappée il y a quatre ans. L'étudiante s'était inscrite à un stage d'écovolontaire (1) pour un mois. Des dizaines de jeunes Européens défilent tout au long de l'année dans le village de Boubonitsy pour participer à des programmes scientifiques d'observation et de recensement des ours et des loups. Laetitia, elle, est revenue. Et restée. «J'ai toujours aimé les animaux. Les grands mammifères surtout, les prédateurs.» La petite Alsacienne loue pour une bouchée de pain une maison traditionnelle, une isba centenaire abandonnée pendant dix ans. Pas d'eau courante. Laetitia remplit ses seaux dans la rivière voisine, été comme hiver. Elle se chauffe au bouleau. Un poêle massif en brique trône dans chacune de ses deux pièces spartiates. Les questions de citadin se bousculent : «Vous n'avez pas peur de vivre seule ici ? Comment faites-vous sans eau ? Sans téléphone ? Et s'il vous arrive quelque chose ?» Invariablement, Laetitia y oppose son rire joyeux. «Mes parents et mes amis ne sont pas très étonnés de me voir atterrir dans un endroit pareil.» Elle revendique son goût de la solitude. Son besoin de nature et de grand air. Ce n'est pas génétique : Cécilia, sa sœur jumelle, fait du marketing à Lille. «Moi, je ne peux pas rester plus de deux jours dans un bureau.» Lorsqu'elle rentre à Strasbourg, une fois par an, au bout de deux semaines, elle étouffe. «Je me verrais bien vivre ici toute ma vie, y fonder une famille.» Pour la beauté de l'hiver, le soleil orange de l'automne ou les verts éclatants du printemps.

Pour sa sécurité, Thalys veille. Un magnifique chien des Pyrénées. «Je lui parle comme à un ami.» Laetitia ne fait pas de longues phrases. Elle les réserve à son journal de bord, écrit à la main, ou à ses e-mails, qu'elle prépare sur son ordinateur avant de les envoyer depuis la ville de Toropets, deux fois par mois. Pour l'hygiène, il y a le bania sauna russe , tous les samedis, chez Vladimir, dont la famille habite un hameau voisin, à dix kilomètres. C'est devenu un rituel, un moment de sociabilité avec quelques femmes du coin. «En hiver, j'adore me rouler dans la neige en sortant du bania, ça fouette le sang.» Une vraie Russe. Le hameau de Laetitia compte cinq habitants. Ses contacts avec ses voisins, âgés, sont limités, même si elle les conduit parfois à Toropets, à une demi-heure, au bout de la piste en terre. Alexeï, 73 ans, un des voisins de la «petite Française», est bien trop pauvre pour avoir une voiture. Il touche 2 000 roubles (55 euros) mensuels de retraite. La campagne russe se vide de ses habitants. Entre Toropets et le refuge de Laetitia se succèdent les villages fantômes, isbas aux volets cloués et masures en ruines. Tous les jeunes fuient à la ville. Le mode de vie des derniers habitants n'a guère évolué depuis Tolstoï. Les voisins de Laetitia peuvent passer deux semaines sans sortir et sans dessoûler. La langue russe a un terme pour décrire ces plongées éthyliques : zapoï. «Ce que je ressens de ce pays, observe Laetitia, c'est qu'il y a des gens très, très riches et des gens très, très pauvres.» Paradoxalement, dans sa retraite à l'écart de la civilisation, la jeune fille, qui était «bio, bio, bio», s'ouvre davantage au monde des humains. Laetitia vit grâce à sa bourse de thèse : 500 euros. Ses besoins quotidiens sont frugaux. Les menus alternent entre pommes de terre, riz, pâtes, millet et sarrasin. Très peu de fruits et légumes en hiver. «Heureusement qu'il y a le chocolat que mes parents m'envoient par colis, avec les livres.» Le sujet de sa thèse consiste à décrire la meilleure méthode de réhabilitation des louveteaux. Pour en mesurer les résultats, elle souhaiterait équiper ses cobayes de colliers GPS. Elle recherche encore les financements. En Russie, le loup a mauvaise réputation. Vladimir Bologov, le responsable de la station biologique, qui observe en parallèle une autre meute, s'insurge. Depuis trente ans qu'il vit dans cette forêt, ce fils d'un spécialiste du loup et gendre d'un expert en ours n'a jamais entendu parler d'homme victime du carnassier. «On accepte chaque année dans le pays que des touristes soient tués par des ours, mais si jamais un homme est attaqué par un loup, c'est toute une histoire.»Canis lupus est classé en Russie comme animal nuisible. On peut ainsi le chasser toute l'année, même pendant la période de reproduction. L'espèce il y aurait 25 000 individus dans toute la Russie contre 200 000 ours n'est pas en danger, dit-il. Un classement comme gibier, avec des périodes d'interdiction de chasse, serait suffisant. Les loups de Laetitia chassent le petit gibier. Fait peu connu, observé par la biologiste française, les loups raffolent de baies et de pommes. Quant au hurlement à la lune, ce serait un mythe. Laetitia peut passer dix heures d'affilée à observer ses loups. En silence. Pas question de leur parler. «Ce ne sont pas des chiens. Il ne faut pas les habituer à la voix de l'homme.» Dans quelques semaines, Laetitia ne refermera pas l'enclos. Elle appréhende déjà la séparation. Ses yeux bleus s'embuent. «Tout ce que j'espère, c'est qu'ils survivront.» La meute de la saison précédente a choisi elle-même l'instant du retour à la vie sauvage. Un jour, les loups sont partis lors de la promenade, pour ne jamais revenir. Sans dire au revoir. Libres. Comme Laetitia.

Source : lefigaro.fr

elle est courageuse Leatitia de vivre seule au milieu des loups une très belle histoire et une harmonie parfaite , ils sont heureux ensemble , et le meute peut partir quand elle veut :bravo4: Leatitia

Une histoire qui se termine bien :coeur2: et qui nous montre aussi qu'il y a des gens prêts à tout pour des animaux :coeur2: :coeur2:

Un chat passe 18 heures sur un poteau électrique !

Amesbury, Wiltshire, Angleterre – Une intervention a mobilisé plusieurs personnes pour secourir un chat perché pendant 18 heures sur une ligne à haute tension de 7,50 mètres de hauteur.

Il aura fallu la mobilisation de pompiers, d'agents de la compagnie anglaise Southern Electric et de membres de la SPA pour ramener le chat sur la terre ferme. :super3:

Il a ensuite retrouvé sa maîtresse de 33 ans, un mot de la SPA attaché à son collier lui signalant l'aventure qu'il avait vécu.

à ces pompiers

Honoré pour avoir sauvé des canards !

NEW YORK (AP)

-- Un chauffeur de taxi, qui a sauvé une famille de canards d'une mort probable lorsque les palmipèdes se sont aventurés sur la chaussée d'une rue à forte circulation de New York, a été récompensé pour son geste.

Sergio Castillo a freiné brutalement sur Park Avenue lorsqu'une cane et ses petits ont traversé la route il y a une semaine. Le maman canard avait réussi atteindre l'autre côté de la 67e rue saine et sauve mais les canetons, à la traîne, s'étaient retrouvés sous le taxi. M. Castillo est sorti de sa voiture, a regroupé les jeunes canards et les a rendus à leur mère, avant de reprendre le volant pour conduire une cliente vers sa destination.

Un gardien a ramené les canards à leur bercail: Central Park. La Commission Taxi & Limousine de New York a décidé d'honorer M. Castillo pour son geste. De son côté, la société NYC Ducks, littéralement Canards de New York, qui propose de visiter la ville dans des véhicules amphibies mi-bateau mi-autobus, va offrir des billets gratuits à M. Castillo et à sa famille.

C'est un début de belle histoire en tout cas, même si elle ne finira pas spécialement bien.


Des Orangs-Outans et des tigres deviennent amis !

L’Associated Press (AP) rapporte que des tigres jumeaux de Sumatra âgés de quelques mois sont devenus amis avec deux jeunes Orangs-Outans.

Les animaux partagent une pièce à la nurserie du zoo de Taman Safari à Sumatra. D’après l’AP, ces animaux qui étaient orphelins se blottissent les un contre les autres et jouent ensemble.









« C’est inhabituel et ça n’arriverait jamais dans la nature » rapporte Sri Suwarni un gardien du zoo d’après les dire de l’AP. « Comme des enfants ils ne pensent qu’à jouer ».

Leur amitié risque d’être de courte durée puisque dans la nature les Orangs-Outans sont des proies pour les tigres.

«Quand le moment sera venu, ils devront être séparés. C’est triste, mais nous ne pouvons pas changer leurs comportements naturels. Les tigres commencent à manger de la viande quand ils sont âgés de trois mois. »


A retenir néanmoins :

Les Orangs-Outans et les tigres de Sumatra sont en grand danger en Indonésie du à la perte de leur habitat naturel et le braconnage. Les protecteurs de la nature estiment qu’il reste moins de 700 tigres de Sumatra dans la nature, tandis que les orangs-Outans sont estimés à moins de 50 000. La population des Orangs-Outans décline rapidement sur l’ile de Bornéo due aux feux de forêts, le défrichement pour la plantation de palmiers destinés à l’huile de palme, la déforestation sauvage et le braconnage pour le commerce d’animaux de compagnie.

Grâce à deux marmailles, Pomme la tortue retrouve l’océan !

Hier matin, deux marmailles ont relâché devant Kélonia, Pomme, une tortue guérie qu’ils ont sauvée. Quand la sensibilisation commence dès le plus jeune âge, l’environnement a de l’avenir. En pleine conférence sur la biodiversité, certaines scènes mettent du baume au coeur, comme celle observée hier matin à Kélonia. Sous la bienveillance du directeur de Kélonia, Stéphane Cicionne, Jonathan et David, ont relâché Pomme, une tortue imbriquée âgée de cinq ans (nom qui provient de ses écailles qui se chevauchent), observée peu fréquemment à La Réunion. Un animal sauvé au mois de janvier d’une mort certaine. “Nous étions en train de pêcher à Terre-Sainte. Soudain, nous avons vu cette tortue mal en point, échouée sur le sable. Du coup, nous l’avons recueillie. Puis, nous l’avons ramenée chez nous”, racontent les enfants. Avant d’avoir le bon feeling : un coup de fil au Centre de soin des tortues marines de Saint-Leu.

“ENCOURAGER LES ENFANTS”

Les scientifiques lui ont alors administré divers soins dans un bac à part. Finalement, cette blessure au niveau du cou, provoquée sûrement par un braconnier et son harpon, a cicatrisé. “Nous leur avions dit qu’on les préviendrait une fois qu’elle serait guérie”, explique Stéphane Ciccione. Hier, les deux “sauveteurs” montraient quand même triste mine : “Nous étions attachées à elle”. Cette remise à l’eau a ravi le spécialiste car elle prouve que les jeunes générations ont une conscience déjà bien au fait des enjeux environnementaux. “L’objectif est de valoriser le comportement de ces deux enfants, déclare-t-il. C’est bien qu’ils aient eu le réflexe de ramener cette tortue, même si parfois nous n’arrivons pas à les sauver.” Voilà donc une jeune génération qui porte avec brio la cause environnementale. “La sensibilisation est en marche. Ca progresse, c’est bien”, se félicite le spécialiste, qui appelle la population à agir de même dans pareil cas. Et pour cause, cette réaction reste marginale. “Chaque année, entre trois et cinq tortues nous arrivent malades”. Trois causes majeures à cela : “Elles peuvent être accrochées par la ligne d’une canne à pêche ou par une hélice de bateau. La cause la plus classique étant l’ingestion de plastique entraînant des occlusions intestinales ou à l’estomac. En cas de lésions importantes, on met des points de suture, mais là, ce n’était pas la peine”. Quant au braconnage, il existe encore, mais régresse

:coeur2: :coeur2:
Pomme est guérie de sa lésion au cou. Elle peut regagner l’océan.



Source : CLICANOO.COM

là, c'est plutôt une belle histoire de retrouvailles (j'avais pleuré de joie en lisant l'article):

Ils retrouvent leur chienne perdue il y a quinze ans

très belle histoir dommage que l'enfant devient homme , et change souvent dans son comportement

Magnifique histoire en effet :coeur2: :coeur2: mais néanmoins entourée de pas mal de questions comment cette chienne tatouée n'a pas été retrouvée avant ? Même si elle a été adoptée juste après sa fugue, il a bien fallu qu'elle voit un vétérinaire et le carnet de santé ?
Et puis a-t-elle été abandonnée ou perdue une seconde fois??
Bref, malgré tout ça, cette histoire reste néanmoins très belle :coeur2: :coeur2: :coeur2:

lili a écrit:

là, c'est plutôt une belle histoire de retrouvailles (j'avais pleuré de joie en lisant l'article):

Ils retrouvent leur chienne perdue il y a quinze ans

Sologne a eu beaucoup de chance , dommage qu'il ait fallu
tant d'années pour les retrouvailles

Citation :

mais néanmoins entourée de pas mal de questions comment cette chienne tatouée n'a pas été retrouvée avant ? Même si elle a été adoptée juste après sa fugue, il a bien fallu qu'elle voit un vétérinaire et le carnet de santé ?

c'est vrai: je m'étais posé la m^me question

ou alors le véto a mal fait son boulot et n'a pas vérifié le tatouage !!!

Oui ce doit être surement ça, un véto peu scrupuleux mais bon le principal dans l'histoire est que ce chien termine sa vie tranquillement auprès d'une famille aimante

Boo a écrit:

mais bon le principal dans l'histoire est que ce chien termine sa vie tranquillement auprès d'une famille aimante

Regarde lili en voilà une autre de belle histoire......

Un chien retrouvé à 1370 kilomètres du domicile de ses maîtres.

Rocco, un chien perdu à New York par ses propriétaires il y a cinq ans, a retrouvé ses maîtres après avoir été découvert à 1370 kilomètres de leur domicile, dans l'État de Géorgie.


Randy Durrence, responsable des services vétérinaires du comté de Liberty à Hinseville (Géorgie), a déclaré au New York Post que quelqu'un avait déposé le beagle auprès de ses services le 5 juillet dernier. Une puce électronique sous la peau du chien a permis de retrouver ses propriétaires new-yorkais, Jorge et Cristina Villacis.

Pour la plus grande joie de la fille du couple, Natalie, qui avait cinq ans lorsque Rocco a disparu. C'est comme «dans un rêve», a-t-elle déclaré au journal.


:coeur2: :coeur2:

Natalie Villacis a retrouvé son beagle Rocco qui avait disparu lorsqu'elle était âgée de 5 ans.
Photo New York Post



Source : cyberpresse.ca

Magnifique

très belles retrouvailles ! j'avais lu l'histoire d'une femme qui a retrouvé son chat après 6 ans mais je n'arrive pas à remettre la main dessus...