Je transmet :
Voici une lettre type contre l'abattage des Eléphants en Afrique du sud.Envoyée à : ministry@deat.gov.za,
mukoni@po.gov.za,
johnj@po.gov.za,
denzel@po.gov.za,
thabang@po.gov.za,
khosis@po.gov.za,
info@saembassy.org,
vanheerdenm@foreign.gov.za,
somersn@foreign.gov.zaSujet : Against the slaughter of elephants in South-Africa
Lettre à envoyée entre les (###########) :
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To a man whose mind is free there is something even more intolerable in the sufferings of animals than in the sufferings of man. For with the latter it is at least admitted that suffering is evil and that the man who causes it is a criminal. But thousands of animals are uselessly butchered every day without a shadow of remorse. If any man were to refer to it, he would be thought ridiculous. And that is the unpardonable crime. ~Romain Rolland, Nobel Prize 1915
http://www.animalrightsafrica.org/EleMyths.phpHonorable Officials Of South Africa:
I join the worldwide plea to South African authorities: Please remove
culling as a "tool" in the National Norms and Standards for Elephant
Management (NNSEM). Slaughter ought to be banned outright -- not used to
control elephant populations on private, provincial and national
conservation grounds.
I was shocked to learn about South Africa's intent to overturn a 1994
moratorium on the mass killing of elephants. Acclaimed elephant specialists
consider culling a temporary fix. The unnatural reduction of elephants may
actually boost birth rates as survivors rebound with a focus on mating.
Moreover, female elephants often retain lifelong ties with mothers and males
may remain in the herd until 10 to 15 years of age. The slaughter of
individuals or families torments these socially complex, perceptive animals..
Grief and suffering can harmfully impact herd members who are not killed.
I strongly urge South African authorities to integrate non-violent methods
-- such as range expansion, translocation, contraception -- into long-range
plans to ease the alleged overpopulation of elephants.
Please bear in mind a cull's influence on the current ivory trade ban. More
dead elephants mean more stockpiled ivory and could result in demands to
legally sell ivory. Many southern African countries feel a relaxed
prohibition on ivory would instigate widespread poaching in at risk wild
elephant populations.
I strongly object to the government-approved slaughter of elephants and
respectfully ask South African Minister of Environmental Affairs and
Tourism, Marthinus Van Schalkwyk, to rescind his decision.
Thank you,
Nom, Prénom
PAYS
EMAIL
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Traduction (approximative) de cette lettre :
"
Honorables officiels d'Afrique du Sud,
Je me joins à la réclamation mondiale auprés des autorités sud-africaines : Enlevez svp le prélèvement comme "tool" dans les normes et les standarts nationaux pour la gestion des éléphants (NNSEM). L'abattage doit être interdit tout à fait -- non utilisé pour controler des populations d'éléphant sur des sols privés, provinciaux et nationaux de conservation.
J'ai été choqué d'apprendre que l'Afrique du Sud a l'intention de retourner à un moratoire de 1994 sur la tuerie des éléphants. Les spécialistes acclamés en éléphant envisagent le prélèvement comme une difficulté provisoire. La réduction artificielle des éléphants peut réellement amplifier les taux de natalité car les survivants se focalisent sur l'accouplement.
D'ailleurs, les éléphants femelles maintiennent souvent le nombre avec des mères et des mâles pouvant rester dans le troupeau jusqu'à 10 à 15 ans. L'abattage d'individus ou de familles tourmente ces animaux socialement complexes et clairvoyants. La peine et la souffrance peuvent nocivement affecter les membres de troupeau qui ne sont pas tués.
J'invite fortement les autorités sud-africaines à intégrer des méthodes non-violentes
-- comme l'expansion de gamme, la translocation, la contraception
-- dans des plans à longue durée pour soulager le surpeuplement allégué des éléphants.
Veuillez considérer l'influence du prélèvement sur l'interdiction courante du commerce d'ivoire. Plus d'éléphants morts signifie plus d'ivoire stocké et pourraient avoir comme conséquence des demandes pour vendre légalement l'ivoire. Beaucoup de pays africains méridionaux sentent une relache sur la prohibition sur l'ivoire qui inciterait le braconnage répandu dans les populations sauvages en danger d'éléphants.
Je m'oppose fortement à l'abattage approuvé par le gouvernement des éléphants et demande avec respect au ministre sud-africain des affaires environnementales et du tourisme, Marthinus Van Schalkwyk, d'annuler sa décision.
Merci,"
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Merci pour les éléphants