Je transmet cette nouvelle horreur qui se passe en Espagne et a envoyer aux adresses ci-dessous :
Action lancée et soutenue par :
-- * Refugio 'KIMBA'
* NÚCLEO ZOOLÓGICO:
AUTONÓMICO CA/ 242, NACIONAL 4129
* Teléfono: 00 34 679 968 900
*
http://www.refugiokimba.org/*
protectorakimba@hotmail.comVidéo magnifique a voir sur "Kimba" :
http://fr.youtube.com/watch?v=hSZGJOVVd5k-- CACMA :
http://www.cacma.org/-- Animal Aid Foundation
Annelies Jacobs
Email:
animalfoundation@gmail.comWeb :
http://www.animal-aid.net/Web :
http://www.podenco-sos.de/Voici le lien d'un article sur ce "refuge"
http://www.diariodecadiz.es/article/provincia/123925/la/audiencia/ordena/se/reabra/la/perrera/puerto/real/bajo/vigilancia.htmlVoici les adresses mails ou envoyer cette lettre :
Aan :
atencion.ciudadano@cadiz.es,
ayuntamiento@elpuertosm.es,
Alcalde@AytoSanFernando.org,
ayuntamiento@puertoreal.es,
info@ceccadiz.org;
turismoinfo@aytojerez.es,
arturo.armario@mancobahia.es,
gerencia@mancobahia.esSujet :
Desproporcionadas y también de vergüenza la apertura de la maldita perrera de Puerto Real
Voici la lettre a envoyer (entre les ###) :
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Casi toda la ciudadanía también tiene el derecho de juzgar de desproporcionado y de vergüenza la apertura de la maldita perrera de Puerto Real cuando aun están imputados por los graves delitos de maltrato animal continuado el dueño, la directora, así como la gran mayoría de sus trabajadores y aun más indigno si cabe es levantarle la inhabilitación al veterinario que presuntamente asesinó a miles de pobres animales de esa forma tan cruel, todo ello detallado en el exhaustivo informe realizado por el Seprona y que consta de 64 folios.
A nadie se le debe de olvidar que el veterinario contratado por la perrera 'El refugio' de Puerto Real, usaba presuntamente para asesinar a los animales que caían en sus manos un fuerte bloqueante neuromuscular (Mioflex). Una dosis de seis mililitros de este bloqueante provocaba una muerte lenta y agónica a los animales. El efecto de este fármaco era la parálisis progresiva de las extremidades y días más tarde el animal moría asfixiado.
Ni los perros, ni los gatos, ni ningún animal tienen culpa de la lentitud de la justicia.
Incrédulas y tristes estamos todas las personas que luchamos y defendemos los derechos de los que menos culpa tienen de nada, realmente todos estamos tristes, excepto los que se lucran con los asesinatos de miles de animales de la forma más económica y menos ética posible, así como los amigos de esos indeseables que han hecho y dicho todo lo posible para que se abra de nuevo esa perrera, cerrada en el primer proceso que se abre en España por un presunto delito de maltrato animal. continuado.
Pero deben de saber tanto los unos como los otros, que daremos a conocer a todos los países civilizados éste increíble Auto que trata de desproporcionado el cierre de la perrera, cuando lo único que se debe de mirar es el daño, la forma y el porqué se han asesinado de esa forma a éstos pobres animales, con dinero público del que en ningún momento se ha hecho seguimiento, ni de como se gastaba ni de que manera se empleaba.
No nos toca a nosotros hablar del derecho que tienen unas personas (tengan togas o no las tengan) de forzar a otras a presenciar como se asesinan animales en una perrera, eso lo tendrán que hablar quienes le han puesto un peso enorme en su espalda y en sus conciencia, solo es gusto de unos pocos ver como se asesinan animales.
Lo que si deben de saber todos los Municipios de la Bahía que nuestra campaña de desprestigio no tendrá fin, y que daremos a conocer en todos los idiomas europeos la lista de Ayuntamientos que contraten a semejante perrera, y no descansaremos en nuestra lucha de 'TURISMO CERO' para aquellos que tengan contratados la perrera mal llamada 'El Refugio' y por ende, difundiremos que a esos gobernantes municipales no les preocupa en absoluto sus animales.
PRENOM, NOM
PAYS
ADRESSE MAIL
http://www.diariodecadiz.es/article/provincia/123925/la/audiencia/ordena/se/reabra/la/perrera/puerto/real/bajo/vigilancia.html##############################
Voici une traduction (approximative) de ce mail :
"Presque toute la citoyenneté a aussi le droit de juger de la disproportion et de la honte de la ré-ouverture de cette perrera de Puerto Réal quand ils sont encore imputés d'infractions graves de maltraitances animales continues par le propriétaire, le directeur, ainsi que la grande majorité de ses travailleurs et plus indignée si la déclaration d'inhabilité du vétérinaire qui a assassiné présumément des milliers de pauvres animaux de cette manière tellement cruelle est levée, tout cela détaillé dans le rapport exhaustif effectué par le Seprona et qui est composé de 64 feuillets.
Personne ne doit oublié que le vétérinaire engagé par la "perrera Le refugio'" de Puerto Réal, utilisait présumément pour assassiner les animaux qui tombaient dans ses mains un fort bloquant neuromusculaire (Mioflex). Une dose de six millilitres de ce bloquant provoquait un décès et une lente agonie aux animaux. L'effet de cette drogue est la paralysie progressive des extrémités et quelques jours plus tard l'animal mourait asphyxié.
Ni les chiens, ni les chats, ni aucun animal ne sont fautifs de la lenteur de la justice.
Incrédules et tristes sont toutes les personnes qui combattent et défendent les droits de ceux qui ne sont coupables de rien, réellement nous sommes tous tristes, sauf ceux qui ont accompli les meurtres de milliers d'animaux de la manière la plus économique et la moins morale possible, ainsi que les amis de ces indésirables qui ont fait tout ce qui était possible pour qu'on ouvre de nouveau cette perrera, fermée dans un premier processus qui est ouvert en Espagne pour une infraction présumée de maltraitances animales continues.
Mais ils doivent savoir tant les uns que les autres, que nous ferons connaître à tous les pays civilisés ce cas incroyable qui traite de disproportion de la fermeture de ce qui est une perrera, quand la seule chose qui doit être surveillé seront les dommages, la manière et le pourquoi a-t-on assassiné de cette manière là des pauvres animaux, avec l'argent public qui à aucun moment n'a été suivi, ni savoir comment il était dépensé ni comment il était employé.
Il ne nous touche pas de parler du droit qu'ont des personnes (qu'elles aient des toges ou pas) de forcer d'autres à assister a l'assassinat des animaux dans une perrera, elles devront parler de ceux qui leur ont mis un poids énorme dans le dos et dans la conscience, il est seulement du goût de quelques-uns de voir comment on assassine des animaux.
Ce que doivent savoir toutes les Communes de Bahia est que notre campagne de discrédit n'aura pas de fin, et que nous ferons connaître dans toutes les langues européennes la liste des Mairies qui contractent à de pareille perrera, et nous ne reposerons pas notre lutte de "ZERO TOURISME" pour ceux qui ont contractés la perrera mal appelée "Le Refugio" et par conséquent, nous diffuserons que ces dirigeants municipaux ne se préoccupent absolument pas de leurs animaux."
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Merci pour les animaux